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6 juillet 2007

"L'école est finie"

L'école est finie
Les cahiers au feu
La maîtresse au milieu.

Je ne sais pas ou j'ai entendu cette histoire, elle résonne encore au fond de ma mémoire... Ce que je sais c'est que ce métier ne peux pas se faire sans passion. J'ai enseigné  le breton pendant un an  dans une classe à trois niveaux (ce2, cm1 Cm2), les enfants ont une capacité d'ouverture au monde que n'ont plus les adultes, c'est pour celà que je les aime. Ils n'ont pas de barrière, ils acceptent les différences, et nous les adultes sommes là pour les leur expliquer, pour leur "enseigner". Pour les aider à se battre et se défendre aussi. Les enseignants apprennent en même temps que les parents à devenir des hommes et des femmes. Ils éduquent, et construisent l'avenir d'un petit de femme et d'homme .J'ai aussi rencontrer des enseignants fatigués qui n'ont plus leur place dans ce métier,ils doivent céder leur place.

Je me souviens de Fabien, une forte tête, très intelligent, Il y avait aussi Hélène L'arrogante,mais qui manquait de confiance en elle. et Clémence qui s'endormait sur la table ! le mardi soir , elle enchaînait "patin à glaces", "musique", et le mercredi, il y avait encore autre chose. La faute aux parents ? Ils veulent faire quoi avec leur progéniture, des machines à activités ?? Ce qui m'a choqué le plus , ce sont les enseignants qui n'aiment pas les enfants ! il y en a.   
Aujourd'hui,  , la maîtresse que j'accompagnai,(je suis asem depuis quelque jours) ,  à reçu plein de bouquets de fleurs, pendant l'accueil du matin (cadeaux des parents). Elle m'a demandé, " Pourriez trouver des pots pour les fleurs ?
" Je me suis empresser d'aller les chercher. Et oui, c'est le côté frustrant de ce métier, je me sentais comme un p'tit chien bien élevé ! mais quand je vois les yeux des enfants et leur fraîcheur, j'oublie tout le reste. C'est celà le plus important.
persuadée.

Et puis elle s'est adressée a un des enfants qui jouait tranquillement,

-Auguste, ta maman, elle a fait exprès de  cueillir des fleurs qui piquent ?Le bouquet était magnifique... L'enfant l'a regardée désapointé. Quelle maladresse !!! Bon pour positiver, il y en en d'autres, qui sont moins compliqué, comme Elise, l'instit de mon fils, elle sait se mettre au niveau de l'enfant au propre comme au figuré et s'agenouiller le matin pour faire un baiser à chacun des vingt et un bambin.







Cette phrase est terrible, pour la maîtresse, oui, mais quel plaisir de dormir le matin, de se lacher et de profiter de la vie, des soirées d'été. Le

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Commentaires
M
eh oui, le métier d'instit n'est vraiment pas facile tous les jours. Je peux le constater. Il faut faire ça par vocation, sinon, ce n'est pas la peine.
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